Par-delà la fable grinçante, et une initiation loufoque à l’art de la guerre, le roman de David Toscana touche au vif. Et relance le grand art romanesque des Juan Rulfo et Carlos Fuentes avec une verve désarmante pour dire l’audace des innocents, au gré d’une folle ironie et d’un humour qui fuse à chaque page comme la mitraille de l’ennemi.
* Esta contraportada corresponde a la edición de 2012. La Enciclopedia de la literatura en México no se hace responsable de los contenidos y puntos de vista vertidos en ella.