1926, Arepa, une île imaginaire des Caraïbes. Le président de la République, le maréchal Belaunzarán, arrive au terme de son quatrième mandat, maximum permis par la Constitution. Après avoir fait assassiner le candidat de l’opposition, il fait modifier le régime électoral et mobilise ses partisans du parti progressiste en vue de sa réélection. Les bourgeois du parti modéré croient se sauver en rappelant au pays Pepe Cussirat, un richissime jeune premier. Celui-ci tente infructueusement, et par trois fois, d’assassiner le dictateur, causant à chaque fois des désastres autour de lui. Qui parviendra à « tuer le lion » ?
Avec sa trame satirique et rocambolesque, ses scènes épiques décrites comme des plans séquences dignes d’un «Django unchained» (Tarantino), «Le Tyran meurt au quatrième coup» fait rire du pire, et démontre que si celui qui ne tente rien n’a effectivement rien, le ridicule peut tuer.
* Esta contraportada corresponde a la edición de 2016. La Enciclopedia de la literatura en México no se hace responsable de los contenidos y puntos de vista vertidos en ella.