Mexico, pour construire son futur, a indéfectiblement détruit son passé. Si quelque chose a survécu de Mexico, ce sont les textes des écrivains, poètes ou chroniqueurs, « les voix, en somme, qui l’ont édifiée, lettre après lettre, dans la persévérante réalité de la littérature… »
Porté par une grande érudition et la passion qu’il voue à sa ville, Gonzalo Celorio parcourt l’histoire de la plus grande concentration urbaine de la planète et des destructions successives auxquelles elle a été soumise.
* Esta contraportada corresponde a la edición de 2001. La Enciclopedia de la literatura en México no se hace responsable de los contenidos y puntos de vista vertidos en ella.