«Là où tant d'autres avaient cru pouvoir accommoder la politique en de petites historiettes criminelles (ne citons aucun nom, une chronique entière n'y suffirait pas), Díez, authentique poète de la prose, visionnaire donc, traitait la dictature des généraux argentins à la manière d'une fable désopilante et tragique.»
Gérard Guégan
* Esta contraportada corresponde a la edición de 1998. La Enciclopedia de la literatura en México no se hace responsable de los contenidos y puntos de vista vertidos en ella.